De la remise en question à l’innovation pédagogique

Bienvenue à toi, je me présente, Clément.

Comme toi, j’ai toujours su que ma place se trouvait aux côtés des personnes qui avaient le plus besoin d’aide. Bien plus qu’une simple envie, c’était un véritable besoin pour moi. Être au contact de la population, prendre soin des autres, être au cœur de l’humain, je n’avais aucun doute sur le chemin à suivre.

Très tôt, j’ai su que le métier d’infirmier était ma vocation.

Et sûrement comme toi, j’ai vite été rattrapé par le rythme très intense imposé au sein de cette formation. Une véritable claque qui m’a même valu de redoubler ma première année.

Mais revenons à la base de l’histoire, mon entrée à l’IFSI.

Un parcours sous le signe de la difficulté

Je réussis le concours de l’Institut de Formation en Soins Infirmiers de Nantes après avoir obtenu mon baccalauréat en 2016.

À cette époque, l’entrée à l’IFSI ne se fait pas via Parcoursup, il fallait réussir un concours afin d’intégrer la formation.

Lors de mon premier jour, je suis plein d’espoir et d’envie d’exercer un métier qui a du sens. Au lycée, être attentif un minimum en classe m’avait toujours suffi pour avoir la moyenne. Pourquoi ça ne marcherait pas à l’IFSI ?

Je découvre alors des disciplines qui me sont totalement inconnues (l’anatomie, les pathologies, pharmacologie…) et un système différent de l’évaluation continue (un partiel pour un semestre). En plus, je dois assimiler un maximum d’informations pour les appliquer en stage.

Comme la plupart des étudiants, je fais des tonnes de fiches, je surligne beaucoup, je relis mes cours pendant des heures et j’achète une tonne de livres avec l’impression d’avoir travaillé comme jamais. Je me sens en pleine confiance.

Et là, c’est la claque dès les premiers partiels.

Je ne valide qu’une seule matière sur onze et j’accumule un retard conséquent. Malgré ma persévérance, je redouble ma première année.

Suis-je capable d’y arriver ?

Pensant qu’il ne s’agit que d’un manque de travail, je continue sur ma lancée. Je savais que la motivation n’allait pas suffire.

J’essaye de trouver du soutien auprès de mes camarades de l’IFSI mais j’ai toujours un doute sur la qualité de leurs fiches. Mes recherches dans des livres et sur internet me font perdre un temps fou.

Finalement, je vis une véritable remise en question.

Échouer à mes examens ne concerne que moi. Mais que se passe-t-il si mon manque de connaissances me porte préjudice lors de mon stage ? Comment tenir physiquement et psychologiquement ? Qui sera à mes côtés si je fais une erreur ?

J’ai l’impression d’être plongé dans un environnement qui n’est pas avec moi, mais contre moi. À tout moment, je peux me retrouver sur la touche et la moindre erreur peut m’être fatale. Je comprends très vite une chose : je suis totalement seul.

Malgré tout, je persévère et m’épuise à donner le meilleur de moi-même pour réussir à obtenir mon diplôme en soins infirmiers trois ans plus tard.

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L’appel à l’aide d’une communauté

Pendant deux ans, j’exerce dans un service des urgences à Paris. J’ai la chance de transmettre mon savoir en devenant tuteur de stage. Pris de passion par la pédagogie, je deviens même formateur en IFSI. Et là, j’ai une révélation.

Je suis face à des étudiants en difficulté. Mon passé refait surface et je me retrouve alors à travers eux. Je vois les mêmes barrières, les mêmes remises en question et le même manque de confiance en soi.

Comme moi, ils pensent que le problème vient d’eux et qu’ils n’ont pas les capacités pour réussir. Je comprends vite que le souci vient d’ailleurs. Après l’enseignement secondaire, nous sommes face à une structure totalement différente.

Si de nombreux étudiants échouent dès le premier semestre, c’est parce qu’ils n’ont pas les bonnes méthodes de travail. Tout simplement parce que l’on fait comme tout le monde et que c’est ce qu’on nous dit de faire. Crois-moi, je suis passé aussi par là.

Je décide de me pencher sur les études basées sur les neurosciences et la capacité de mémorisation afin de créer une nouvelle méthode.

Je teste ce programme sur 50 étudiants en difficulté (sur une promotion de 200) et je constate un effet spectaculaire. La moyenne globale a augmenté de 1,58 point. Le plus frappant, c’est que le taux de rattrapage est tombé à 0 (oui, tu as bien lu) alors qu’il y avait 14 rattrapages en moyenne sur les années précédentes !

J’avais mis la main sur une méthode qui allait améliorer drastiquement les révisions et l’apprentissage pour aider les étudiants infirmiers à retrouver confiance en leurs capacités. C’est alors que Réussis ton IFSI est né, d’abord avec un compte Instagram.

La réussite grâce à une pédagogie innovante

Très vite, la demande explose. Je comprends qu’il y a un réel besoin et Réussis ton IFSI évolue. À l’aide d’une équipe de professionnels, elle devient la première plateforme 100% digitale de révisions pour les étudiants infirmiers.

Des milliers d’étudiants accèdent alors à des cours en ligne, des fiches complètes de révisions, des quiz pour s’auto-évaluer et les résumés des cours audios pour mieux assimiler les contenus. Grâce à leurs retours, la plateforme s’améliore de jour en jour.

Aujourd’hui, j’ai la chance d’être accompagné par plus de 47 000 personnes sur Instagram et plus de 5000 étudiants ont rejoint l’aventure. Ce sont des étudiants qui, comme toi et moi, n’arrivaient pas à suivre le rythme et vivaient des remises en question permanentes.

Depuis, ils ont réussi à faciliter leur apprentissage sans être épuisés. J’aurais aimé connaître une telle méthode lorsque j’étais en IFSI. Elle m’aurait évité de redoubler et de perdre un an de ma vie.

Désormais, ne t’accroche plus aux méthodes traditionnelles en espérant limiter les dégâts. Je te propose de te libérer de toute charge mentale et physique pour te concentrer sur l’essentiel et avoir l’esprit serein tout au long de ta formation.